samedi 31 août 2013

Regatta de Blanc (The Police) - 1979


C'est le premier album arrivé à la maison (acheté par ma mère). J'avais 12 ans a l'epoque.

Je ne reviendrai pas sur le phenomene mondial "Message in a Bottle" que j'ai toujours autant de mal a faire a la guitare ou les morceaux d'anthologie comme "Walking on the Moon" ou "Bring on the Night", le Regatta contient une autre substance tout aussi enthousiasmante comme l'instrumental "Regatta de Blanc", l'energique "Allright for you" and you and you and you and you, l'ambiance étrange de "Bed too big without you" en ralenti accéléré, "Contact" je l'avais pris en fond de mon méssage de repondeur "have we got contact?", c'est logique non ? Ma préféré "Does everyone stare ?" avec l'intro au piano et une ambiance façon maison de dingues avec un tenor qui chante O Sole Mio en fond a la fin du premier couplet, et le final "No time this time" joué super vite comme s'il n'y avait plus assez de noir a graver sur la fin. Énorme.

Police tout le monde voit Sting, moi je n'entends que le batteur. Police c'est Stewart Copeland avec un guitariste et un chanteur qui fait des notes sur sa basse, c'est le secret.

Pas de melodie mièvres comme Sting fera apres leur separation, Police ca percute comme les swot qui rendent visite au dealer du coin, fallait juste pas etre là, dommage.

Copeland fera suite a la separation du groupe en 1985 un film "The Rythmatist" qui ferait fuir le premier festivalier Cannois comme une vieille dinde le jour de Noël, mais qui est emblematique de ce qu'il est, une drum machine humaine comme dans la séquence ou il joue dans une cage entouré de lions, ce type est un félé (admiratif).





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